Avant, les jeux vidéo étaient difficiles. Très difficile. Entre nous, ce n’était pas toujours très amusant. C’était frustrant.
Aujourd’hui, c’est moins le cas. Beaucoup moins. J’ai tendance à penser que s’il fallait présenter une date liée à l’abolition de la frustration dans l’expérience du jeu vidéo, nous pourrions sans complexe indiquer l’année de 2005. Cela parait facile de rejeter la faute sur le courant moderne du jeu « casual » (Casual Gaming pour les billingues). Ça l’est. Pourtant, en rien ce qui est facile est faux. Pointons donc du doigt
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Alors, puisqu’il faut jouir de tout, tout de suite, sans contrainte, la frustration doit-elle être abolie? Est-ce pour notre bien ? Pour celui de l’argent?
Edité le 16/12/2011 à 10:37 
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