Détruire tous les humains, deuxième acte
Vous avez toujours rêvé de vivre la vie d'un extra-terrestre ? Destroy All Humans 2! est là pour vous proposer de coloniser notre belle planète. Joli programme n'est-ce pas ?
Vous avez toujours rêvé de vivre la vie d'un extra-terrestre ? Destroy All Humans 2! est là pour vous proposer de coloniser notre belle planète. Joli programme n'est-ce pas ? Mais après un premier épisode original, la suite est-elle toujours aussi flamboyante ?
Pour ceux qui n'ont pas joué au premier épisode, rappelons que le joueur incarnait le petit Krypto qui devenait à la fin de l'aventure Président des États-Unis, rien que ça. Les extra-terrestres ont donc réussi à prendre le pouvoir de notre planète bleu ! Mais un beau jour, les agents russes du KGB réalisent une opération coup-de-poing en détruisant le vaisseau mère des Furons. Nous voilà donc en danger, et surtout relancé à la conquête de l'univers. Il faut bien l'avouer, la trame scénaristique de Destroy All Humans 2! n'est pas vraiment développée. On s'accorde à dire qu'elle reprend les bons vieux films de science-fiction des années 60. Justement, l'action du deuxième opus se déroule dans cet univers si particulier. L'ambiance est donc franchement tournée vers l'univers des hippies. On se retrouve donc propulsé aux commandes de Krypto en plein coeur d'une ville américaine des années 60. Camionnettes à fleurs, concerts en plein air, cheveux longs... l'ambiance générale de la mode cool est plutôt bien retranscrite.
Comme ce fut déjà le cas dans le premier opus, le jeu offre une grande liberté d'action. À savoir la possibilité de déambuler dans les rues. L'occasion de constater que la ville n'est pas très vaste. On s'ennuie donc assez vite. Les possibilités offertes ne sont en fait pas très nombreuses. On ne peut pas rentrer dans les bâtiments ni voler de véhicules, la balade est donc de courte durée. De plus, la police ou l'armée ne cessera jamais de vous harceler. Pour en venir à bout, deux solutions s'offrent à vous. La première étant d'utiliser le super rayon laser de Krypto sur vos ennemis et la seconde de prendre l'apparence d'un habitant. Comme dans tout bon film du genre, le petit Krypto aux yeux globuleux a la possibilité de prendre l'apparence d'un être humain. En appuyant simplement sur le bouton triangle, le joueur change de corps pendant un laps de temps bien défini. On peut alors facilement se mêler aux groupes et récolter différentes informations. Le héros a la capacité de lire dans les pensées de tous les humains, un don nécessaire pour mettre la main sur les objectifs de chaque mission. L'idée est bonne, mais encore une fois bien répétitive. La plupart des missions sont linéaires dans leur construction. De plus, le scénario n'est pas vraiment très emballant. Heureusement que la mise en scène de bonne qualité nous propose quelques dialogues délirants grâce à une bonne dose d'humour. De plus, cet épisode vous emmènera en Russie, au Japon et en Angleterre. Avis aux fans qui pourront même faire la rencontre de Godzilla.
Histoire de varier un peu les plaisirs, Krypto peut embarquer dans la traditionnelle soucoupe volante. C'est à ce moment-là que l'on découvre les lacunes techniques du soft. Le clipping est toujours au rendez-vous, tandis qu'un épais brouillard recouvre les alentours de la ville. Malgré tout, les phases à bord de l'engin restent fun. On tire sur tout ce qui bouge et l'on peut également se refaire une santé en aspirant l'énergie des véhicules. Bien entendu, vous pouvez aussi enlever des humains, ces derniers seront ensuite recyclés pour l'apprentissage de nouvelles capacités. Le personnage et ses armes sont donc évolutifs.
Vous avez aimé Destroy All Humans ? Vous aimerez toujours autant Destroy All Humans! 2. On regrette cependant que les développeurs de Pandemic ne se soient pas foulés sur le plan visuel. Il en est de même pour un gameplay qui a pris un sérieux coup de vieux. Dommage, car les idées sont là. Surtout pour tous les fans de science-fiction qui retrouveront une bonne dose d'humour, voire parodique (Mars Attack!). On notera aussi pour terminer la présence d'un mode coopératif, ce qui n'est pas forcément courant dans ce genre de titre.
Pour ceux qui n'ont pas joué au premier épisode, rappelons que le joueur incarnait le petit Krypto qui devenait à la fin de l'aventure Président des États-Unis, rien que ça. Les extra-terrestres ont donc réussi à prendre le pouvoir de notre planète bleu ! Mais un beau jour, les agents russes du KGB réalisent une opération coup-de-poing en détruisant le vaisseau mère des Furons. Nous voilà donc en danger, et surtout relancé à la conquête de l'univers. Il faut bien l'avouer, la trame scénaristique de Destroy All Humans 2! n'est pas vraiment développée. On s'accorde à dire qu'elle reprend les bons vieux films de science-fiction des années 60. Justement, l'action du deuxième opus se déroule dans cet univers si particulier. L'ambiance est donc franchement tournée vers l'univers des hippies. On se retrouve donc propulsé aux commandes de Krypto en plein coeur d'une ville américaine des années 60. Camionnettes à fleurs, concerts en plein air, cheveux longs... l'ambiance générale de la mode cool est plutôt bien retranscrite.
VidéoTest - Kévin est devenu un alien
Visionner le VidéoTest de Destroy All Humans 2 sur Playstation 2
Comme ce fut déjà le cas dans le premier opus, le jeu offre une grande liberté d'action. À savoir la possibilité de déambuler dans les rues. L'occasion de constater que la ville n'est pas très vaste. On s'ennuie donc assez vite. Les possibilités offertes ne sont en fait pas très nombreuses. On ne peut pas rentrer dans les bâtiments ni voler de véhicules, la balade est donc de courte durée. De plus, la police ou l'armée ne cessera jamais de vous harceler. Pour en venir à bout, deux solutions s'offrent à vous. La première étant d'utiliser le super rayon laser de Krypto sur vos ennemis et la seconde de prendre l'apparence d'un habitant. Comme dans tout bon film du genre, le petit Krypto aux yeux globuleux a la possibilité de prendre l'apparence d'un être humain. En appuyant simplement sur le bouton triangle, le joueur change de corps pendant un laps de temps bien défini. On peut alors facilement se mêler aux groupes et récolter différentes informations. Le héros a la capacité de lire dans les pensées de tous les humains, un don nécessaire pour mettre la main sur les objectifs de chaque mission. L'idée est bonne, mais encore une fois bien répétitive. La plupart des missions sont linéaires dans leur construction. De plus, le scénario n'est pas vraiment très emballant. Heureusement que la mise en scène de bonne qualité nous propose quelques dialogues délirants grâce à une bonne dose d'humour. De plus, cet épisode vous emmènera en Russie, au Japon et en Angleterre. Avis aux fans qui pourront même faire la rencontre de Godzilla.
Histoire de varier un peu les plaisirs, Krypto peut embarquer dans la traditionnelle soucoupe volante. C'est à ce moment-là que l'on découvre les lacunes techniques du soft. Le clipping est toujours au rendez-vous, tandis qu'un épais brouillard recouvre les alentours de la ville. Malgré tout, les phases à bord de l'engin restent fun. On tire sur tout ce qui bouge et l'on peut également se refaire une santé en aspirant l'énergie des véhicules. Bien entendu, vous pouvez aussi enlever des humains, ces derniers seront ensuite recyclés pour l'apprentissage de nouvelles capacités. Le personnage et ses armes sont donc évolutifs.
Vous avez aimé Destroy All Humans ? Vous aimerez toujours autant Destroy All Humans! 2. On regrette cependant que les développeurs de Pandemic ne se soient pas foulés sur le plan visuel. Il en est de même pour un gameplay qui a pris un sérieux coup de vieux. Dommage, car les idées sont là. Surtout pour tous les fans de science-fiction qui retrouveront une bonne dose d'humour, voire parodique (Mars Attack!). On notera aussi pour terminer la présence d'un mode coopératif, ce qui n'est pas forcément courant dans ce genre de titre.
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