Test de Need For Speed ProStreet sur PSP
Déjà disponible sur consoles de salon et PC, Need For Speed ProStreet, le jeu de courses automobiles d’Electronic Arts, arrive enfin sur la console portable de Sony avec la ferme intention de faire de nous le Roi des courses de rue. En route pour quelques tours de pistes au volant de l’un des nombreux véhicules disponibles. Gentlemen ! Start your Engines !
Portant le même nom que son homologue sur Xbox 360 ou Playstation 3, le jeu de courses d’Electronic Arts est bien loin d’en proposer le même contenu. Beaucoup plus léger en ce qui concerne les styles d’épreuves disponibles (Circuit, Chekpoint KO, Course Radar, Contre la Montre, Élimination), il l’est également dans les environnements parcourus, le nombre de véhicules en piste (quatre au total), ou encore les possibilités de modifications. En effet, il ne faut pas s’attendre à pouvoir changer l’aspect général de son bolide, car seuls les vitres, les jantes, le numéro, et la peinture peuvent être ici modifiés. Certes, il est toujours possible de pouvoir apporter quelques améliorations techniques (moteur, comportement, châssis, turbo ou nitro), mais encore une fois, nous avons droit ici au strict minimum.
Sur la piste, les modifications apportées à notre bolide se font vite sentir, mais une fois devant, après quelques doses de nitro (bouton L, par défaut, peu pratique en course) placées au bon moment, ce ne sont pas les trois adversaires qui se courent après qui vont venir nous mettre des bâtons dans les roues, et ce, quel que soit le niveau de difficulté choisi (Terreurs des faubourgs, Accro à l’Adrénaline, Empereur de la vitesse). Se contentant de suivre leur trajectoire, il leur arrive souvent d’essayer de nous pousser hors de la piste. Les dégâts engendrés sont bien réels, mais pas suffisants pour nous empêcher de terminer la course. Surtout qu’il est souvent plus dommageable pour notre bolide de frôler les barrières que de foncer dans un mur à 250 km/h.
Les courses s’enchaînent donc à grande vitesse, et après un peu moins de trois heures de jeu (progression de 60 %), nous avons enfin accès aux défis « Champion » et à quelques voitures beaucoup plus performantes, mais aussi bien plus agréables à regarder. Très bien modélisés, les véhicules disponibles (Volkswagen Golf GTI, Mazda RX-7, Mitsubishi Lancer Evolution, Shelby GT500 1967, Chevrolet Camaro Concept, Lotus Elise, Pagani Zonda F, Porsche 911 Turbo, Lamborghini Murciélago LP640) contrastent avec les environnements ternes et peu variés visuellement. La PSP semble loin d’être poussée dans ses derniers retranchements, et ce ne sont pas le motion blur et l’aliasing omniprésents qui vont venir relever le niveau.
Enfin, avant d’en arriver aux vidéos exclusives qui reviennent sur quelques-unes des épreuves disponibles, nous terminerons en précisant que du côté de la prise en main, il vaut mieux de suite opter pour la vue intérieure (seulement trois vues disponibles), beaucoup plus agréable à jouer que les vues extérieures.
Ce n’est pas parce qu’un jeu arrive sur une console portable qu’il ne doit pas profiter du contenu de son homologue sur console de salon. Pourtant, Need For Speed ProStreet fait partie de ces jeux allégés en contenu proposé pour 50 euros. Et le pire dans tout ça, c’est quand sur la jaquette on nous propose de devenir le Roi des courses de rue (quelles rues ?), en participant notamment à des épreuves de Drift et de Sprint (ah bon ???).
Ce jeu vous intéresse ? Retrouvez-le dans le
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Une moitié de jeu sur console portable
Portant le même nom que son homologue sur Xbox 360 ou Playstation 3, le jeu de courses d’Electronic Arts est bien loin d’en proposer le même contenu. Beaucoup plus léger en ce qui concerne les styles d’épreuves disponibles (Circuit, Chekpoint KO, Course Radar, Contre la Montre, Élimination), il l’est également dans les environnements parcourus, le nombre de véhicules en piste (quatre au total), ou encore les possibilités de modifications. En effet, il ne faut pas s’attendre à pouvoir changer l’aspect général de son bolide, car seuls les vitres, les jantes, le numéro, et la peinture peuvent être ici modifiés. Certes, il est toujours possible de pouvoir apporter quelques améliorations techniques (moteur, comportement, châssis, turbo ou nitro), mais encore une fois, nous avons droit ici au strict minimum.
Sur la piste, les modifications apportées à notre bolide se font vite sentir, mais une fois devant, après quelques doses de nitro (bouton L, par défaut, peu pratique en course) placées au bon moment, ce ne sont pas les trois adversaires qui se courent après qui vont venir nous mettre des bâtons dans les roues, et ce, quel que soit le niveau de difficulté choisi (Terreurs des faubourgs, Accro à l’Adrénaline, Empereur de la vitesse). Se contentant de suivre leur trajectoire, il leur arrive souvent d’essayer de nous pousser hors de la piste. Les dégâts engendrés sont bien réels, mais pas suffisants pour nous empêcher de terminer la course. Surtout qu’il est souvent plus dommageable pour notre bolide de frôler les barrières que de foncer dans un mur à 250 km/h.
Les courses s’enchaînent donc à grande vitesse, et après un peu moins de trois heures de jeu (progression de 60 %), nous avons enfin accès aux défis « Champion » et à quelques voitures beaucoup plus performantes, mais aussi bien plus agréables à regarder. Très bien modélisés, les véhicules disponibles (Volkswagen Golf GTI, Mazda RX-7, Mitsubishi Lancer Evolution, Shelby GT500 1967, Chevrolet Camaro Concept, Lotus Elise, Pagani Zonda F, Porsche 911 Turbo, Lamborghini Murciélago LP640) contrastent avec les environnements ternes et peu variés visuellement. La PSP semble loin d’être poussée dans ses derniers retranchements, et ce ne sont pas le motion blur et l’aliasing omniprésents qui vont venir relever le niveau.
Enfin, avant d’en arriver aux vidéos exclusives qui reviennent sur quelques-unes des épreuves disponibles, nous terminerons en précisant que du côté de la prise en main, il vaut mieux de suite opter pour la vue intérieure (seulement trois vues disponibles), beaucoup plus agréable à jouer que les vues extérieures.
Vidéo exclu #1 - Circuit
Vidéo exclu #1 - Circuit
Vidéo exclu #2 - Checkpoint KO
Vidéo exclu #2 - Checkpoint KO
Vidéo exclu #3 - Radar
Vidéo exclu #3 - Radar
Conclusion
Ce n’est pas parce qu’un jeu arrive sur une console portable qu’il ne doit pas profiter du contenu de son homologue sur console de salon. Pourtant, Need For Speed ProStreet fait partie de ces jeux allégés en contenu proposé pour 50 euros. Et le pire dans tout ça, c’est quand sur la jaquette on nous propose de devenir le Roi des courses de rue (quelles rues ?), en participant notamment à des épreuves de Drift et de Sprint (ah bon ???).
Ce jeu vous intéresse ? Retrouvez-le dans le
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