Le président de Sony Online dénonce Zynga quant à la réputation du free-to-play
John Smedley pense que Zynga a donné une mauvaise réputation au modèle économique du free-to-play.
C'est dans une entrevue accordée à nos confrères de pcgamer que John Smedley, le président de Sony Online Entertainement, s'est exprimé en ce qui concerne la réputation du modèle économique free-to-play.
Au cours de cette discussion tournant principalement autour de PlanetSide 2 est arrivée l'inévitable question : « Pensez-vous que le free-to-play a mauvaise réputation ? Et pensez-vous que des titres comme Planetside vont pouvoir changer cela ? »
Selon lui, la réponse est affirmative. Beaucoup de ces jeux viennent d'Asie et il y en a de très bons mais la plupart des occidentaux les auraient injustement dénigrés. Ce modèle, bien implanté en Orient, commence à devenir de plus en plus populaire par chez nous et des titres tel que League Of Legends fédèrent des millions de joueurs. Cela fait bien quatre ou cinq ans que ce modèle accueille de bons jeux.
Pour John Smedley, la réputation acquise par ce modèle économique a été déterminée dès ses débuts, notamment par les jeux sur réseaux sociaux. Et c'est là qu'intervient Zynga qui aurait desservi le jeu en free-to-play en proposant des produits de monétisation et non des jeux : « I think Zynga has done free-to-play a terrible disservice because many of their releases are monetisation products – not games. ».
Au cours de cette discussion tournant principalement autour de PlanetSide 2 est arrivée l'inévitable question : « Pensez-vous que le free-to-play a mauvaise réputation ? Et pensez-vous que des titres comme Planetside vont pouvoir changer cela ? »
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Pour John Smedley, la réputation acquise par ce modèle économique a été déterminée dès ses débuts, notamment par les jeux sur réseaux sociaux. Et c'est là qu'intervient Zynga qui aurait desservi le jeu en free-to-play en proposant des produits de monétisation et non des jeux : « I think Zynga has done free-to-play a terrible disservice because many of their releases are monetisation products – not games. ».
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